FormaEst, centre de stage de récupération de point
- Un permis valide : à la date du stage, il doit vous rester au minimum 1 point sur votre permis.
- Un relevé d’information intégral récent : le premier jour du stage, vous devez produire ce document, qui atteste du nombre de points restants sur votre permis.
- Une révision des règles du Code de la route : rien n’est obligatoire, mais nous préconisons à nos stagiaires de se replonger, un peu avant leur stage, dans le Code de la route. Le stage n’en sera que plus efficace.
Vous avez le droit de vous inscrire dans n’importe quel département. Autrement dit, rien ne vous contraint à vous inscrire dans votre département de résidence ! Seule obligation : choisir un organisme agréé par la préfecture du département.
Vous cherchez un stage peu onéreux dans l’est de la France ? N’hésitez pas à vous inscrire à nos stages à Strasbourg, Metz, Mulhouse, Belfort, Colmar ou Nancy !
Un stage de récupération de points compte entre 6 et 20 participants.
Votre stage a lieu dans une salle agréée par la Préfecture du département où il se déroule. Cela peut être soit une salle louée à cet effet, soit directement dans les locaux du centre.
Obligatoirement animé par 2 personnes ayant suivi un enseignement spécifique à l’INSERR (Institut national de sécurité routière et de recherches), ce type de stage réunit :
- Un psychologue diplômé d’État
- Un professionnel titulaire du BAFM (Brevet d’aptitude à la formation des moniteurs auto-école)
Le stage dure systématiquement 14 heures réparties sur 2 jours consécutifs (2 x 7 heures) et ce, quel que soit le centre agréé choisi.
L’article 131-35-1 du Code pénal relatif aux modalités d’application de certaines peines, notamment des peines complémentaires, pose le principe selon lequel un stage de sensibilisation à la sécurité routière est toujours payant.
Cela étant dit, il n’est pas obligatoirement cher !
Le programme est toujours le même et ce, quel que soit le centre agréé dans lequel vous suivez votre stage.
Il aborde :
- les facteurs généraux de l’insécurité routière (données de sécurité routière, accidentologie, etc.)
- des études de cas d’accidents
- les lois physiques et leurs conséquences sur la conduite
- une réactualisation des connaissances sur le Code de la route, etc.
Il intègre de plus un enseignement spécialisé au sujet de thématiques spécifiques : vitesse, produits psychoactifs, etc.
Un questionnaire d’auto-évaluation est, enfin, distribué aux participants.
Non, les stagiaires ne passent pas de test à la fin du stage. Mais le respect des horaires, tout comme celui d’autres règles, est néanmoins obligatoire pour valider un stage de sensibilisation à la sécurité routière.
La personne chargée de la partie administrative de la formation en informe chacun dès le début du stage.
Si vous avez bien suivi la formation dans son ensemble, une attestation vous est fournie à la fin de votre stage.
Le centre agréé qui vous a accompagné transmet son double, dans un délai de 15 jours, au préfet du département du lieu de suivi du stage.
Le préfet procède ensuite à la reconstitution du nombre de points dans un délai d'1 mois à compter de la réception de l'attestation. Il la notifie à l'intéressé par lettre simple (article R223-8 du Code de la route).
Mais cette reconstitution prend en réalité effet dès le lendemain de la dernière journée de stage.
Pour vérifier que votre stage a bien été pris en compte, vous pouvez utiliser le service Mes Points Permis.
Attention : s’il s’agissait d’un stage proposé ou imposé par l’autorité judiciaire, c’est à vous d’adresser l’attestation au Préfet à l’issue de votre stage. Pour information : les stages de sensibilisation à la sécurité routière sont régis par les articles R223-5 à R223-13 du Code de la route.